Thomas Sangalli, directeur associé
SON PARCOURS :
Après avoir intégré le pôle Espoirs Rugby au lycée Jean Moulin à Béziers (34), Thomas Sangalli a poursuivi ses études par un BTS Négociation Relation Client à Narbonne (11). Souhaitant découvrir de nouveaux horizons, il a ensuite passé un an à Manchester, en Angleterre, à l’University of Salford. De retour en France, Thomas Sangalli intègre l’école de commerce Idrac à Montpellier, dans l’objectif de perfectionner ses connaissances en négociation, étude de marché et gestion d’entreprise. Thomas Sangalli y rencontrera sa compagne, Cécilia, qui continue depuis à le soutenir dans ses projets et sa carrière. Il rejoint le Groupe SM après l’obtention de son diplôme en 2011.
SES PASSIONS :
Le sport ne l’a jamais quitté, essentiel pour lui, afin de se dépenser et de maintenir sa forme physique. « Je pratique le paddle que j’ai découvert récemment et qui me permet de passer de bons moments avec des amis de toujours. J’ai aussi une véritable passion pour le milieu aquatique que j’explore lors de sorties sous-marines », dévoile-t-il. Protéger l’environnement marin est très important pour lui. Véritable épicurien, dès qu’il le peut, Thomas Sangalli aime partager des instants conviviaux avec ses amis et voyager.

« Contribuer à la pérennité de l’entreprise fondée par nos pères. Comme eux, nous sommes engagés pour porter haut les couleurs de la marque et mobilisés pour répondre aux aspirations urbaines des élus ».

VIE ACTIVE :
« L’immobilier est passionnant, je suis tombé dedans ! Ce qui m’anime au quotidien, c’est la quête de foncier et développer des projets. Je suis très appliqué dans la qualité de la gestion des relations avec les élus, les clients et les partenaires. Au fil des ans, j’ai développé une expérience et une expertise qui me permettent d’assurer la maîtrise des dossiers dans toutes leurs composantes ».
SA VISION :
La force du groupe est de maîtriser parfaitement la totalité de la chaîne de la réalisation d’un projet. De l’idée de l’élu à la concrétisation, le temps est long – parfois trop – mais nécessaire pour répondre avec efficience aux enjeux urbains, explique-t-il. Quand nous investissons un projet, nous partons de la genèse du projet qui débute avec le paysage, l’environnement existant et étudions les impacts éventuels d’une nouvelle urbanisation,… Ces aspects se nourrissant mutuellement les uns avec les autres, je suis très attaché à l’insertion du projet dans son contexte naturel. Je privilégie toujours l’usage futur des résidents par la générosité des espaces, des réflexions sur la cellule de l’habitat, la lumière naturelle, les transparences paysagères, les vues… Dans ce cadre, le végétal a toute sa place, aussi les parkings sont-ils préférentiellement enterrés pour laisser place à des jardins et les bassins de rétention d’eau sont paysagés et accessibles tout en assurant leur fonction première ».